Une Bedfordoise d’adoption ouvre boutique malgré la pandémie
AFFAIRES. Nathalie Bousquet Lajoie croit aux vertus du réemploi et n’a jamais caché son intérêt pour les friperies. Elle se lance aujourd’hui dans la vente de vêtements neufs et usagés pour toute la famille malgré la pandémie.
«Ça n’a pas été de tout repos de remplir la boutique avec le confinement lié à la COVID-19, mais c’est maintenant chose faite», reconnaît la nouvelle commerçante, qui a été en mesure d’accueillir ses premiers clients le 8 février dernier.
La friperie Maé & Max – dont la raison sociale s’inspire des prénoms des petits-enfants de la propriétaire – propose aux consommateurs de la grande région de Bedford un vaste assortiment de vêtements, souliers, ceinturons et bijoux. On y trouve également des abat-jours, douillettes, bols, verres, téléphones sans fil et petits appareils ménagers. Des sacs à main, des accessoires mode et divers articles pour les amateurs de moto devraient éventuellement venir s’ajouter aux items déjà en magasin.
«Les prix varient, mais la plupart des articles se vendent à moins de 10 $ l’unité. Les paiements se font en argent comptant jusqu’à nouvel ordre, mais on accepte également les virements bancaires pour les achats plus volumineux», précise la principale intéressée.
Cette dernière estime que la friperie répond à un réel besoin et a plus que jamais sa raison d’être. «Il y a très peu d’endroits à Bedford où les gens peuvent se procurer du linge d’enfants à petits prix», explique-t-elle.
Le magasin est situé au 9-11 de la rue Principale, porte voisine de la Pizzeria Bedford. L’établissement est accessible du mardi au samedi.
En plus de voir à la bonne marche de la friperie Maé & Max, Nathalie Bousquet entend continuer à s’impliquer dans la gestion de Réno Maintenance JRL, aux côtés de son conjoint Jean Richard Lajoie.
Le couple originaire de Saint-Jean-sur-Richelieu habite Bedford depuis juin dernier.